• L’imposture de Rima Hassan, fausse réfugiée palestinienne


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  • Les Frères musulmans sont-ils installés dans les murs de Sciences Po ?


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  • Je reviens du marché !
    Pas une goutte et pourtant le ciel ne demande qu'à pleurer !!!
    Bonne journée !
    «Le populisme est le cri de survie des peuples européens qui ne veulent pas mourir» 
    Eric Zemmour

     

    Bonjour à Vous ...


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  • La pluie a repris ce midi, monotone !
    Bon c'est une semaine tranquille, peu à sortir,
    sauf le marché demain matin !
    Belle soirée !
    Je me réveille le matin, je suis Française,
    pas républicaine

    Je mange une gastronomie française, pas républicaine.
    Je parle Français, pas républicain.
    La république n'est qu'un cadre,
    Ce n'est pas un mode de vie, ni une civilisation.
    Charlotte d'Ornellas

     

    Bonsoir à Vous ...


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  • L'arbre chasse la mélancolie ...


    En cas de mélancolie,

    il suffit de penser à ce beau principe de régénération :
    les arbres meurent, tombent et pourrissent.
    Et sur l'humus,
    qui est la mémoire de la forêt,
    d'autres arbres naissent
    et commencent pour un siècle ou deux
    leur ascension vers le ciel.
    Sylvain Tesson


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  • Etre Don Quichotte ...


    On chante les invincibles,
    non pas ceux qui gagnent toujours,
    mais ceux qui jamais ne se laissent abattre par les défaites.
    Le plus invincible de la littérature, c'est Don Quichotte.
    Ça sert à quoi, Don Quichotte, aujourd'hui ?
    A donner l'envie de faire un pas en avant,
    à sortir de la ligne,
    à dire non,
    même seul,
    sans crainte du ridicule.
    Erri de Luca


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  • Hier une cage, aujourd'hui le ciel ...


    J'ai seulement besoin de sentir l'air frais dans mon cou,
    entre la peau et le chemisier,
    de tacher mes yeux avec le vert des sapins,
    un vert foncé, fort.
    Je me sens comme celle que j'ai entrevue tout à l'heure,
    au-dessus d'un pré, une alouette.
    Elle filait de la terre au ciel,
    droit d'elle-même à elle-même,
    dans un palpitement de plumes et de chant.
    Le loup, c'était moi, derrière les barreaux, ensommeillée.
    L'alouette, c'était moi, dans l'air bleu,
    vibrante de petit délire calme.
    Hier une cage, aujourd'hui un ciel.
    Je fais des progrès.
    Christian Bobin


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  • Dans des pays de sable et de soleil, il a partagé des dîners à la table du maître de maison pendant que la mère de famille se nourrissait par terre de ce qu’on lui laissait.

    Il a rencontré des familles composées de petits garçons gras comme des poussahs entourés de fillettes aux côtes saillantes. Il a collecté dans ses carnets de notes quelques proverbes hideux :

    Quand la fille naît, même les murs pleurent (Roumanie).
    Une fille donne autant de soucis qu’un troupeau de mille bêtes (Tibet).
    Instruire une femme, c’est mettre un couteau entre les mains d’un singe (Inde).
    La femme est la porte principale de l’enfer (Inde).
    La femme que Dieu comble de bonheur est celle qui meurt avant son mari (monde arabe).
    Merci, mon Dieu, de ne pas m’avoir fait naître femme (monde juif).

    Et c’est ainsi que, malgré lui, il a perdu son humanisme.

    Il ne comprend pas pourquoi l’humanité se rend coupable d’un gynocide permanent (dont les victimes n’ont même pas, elles, le baume du devoir de mémoire) et ne voit pas pourquoi il lui faudrait aimer ou respecter cette humanité-là.

    Il a été conforté de découvrir un jour que Jack London (un wanderer lui aussi, celui du Nouveau Monde !) pensait que « l’homme se distingue des autres animaux surtout en ceci : il est le seul qui maltraite sa femelle, méfait dont ni les loups ni les lâches coyotes ne se rendent coupables, ni même le chien dégénéré par la domestication » (Les Vagabonds du rail).
    Sylvain Tesson

     

    Etre femme ... parfois !!!


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  • J'ai rarement évoqué cette aventure car je ne souhaitais pas me voir coller en plus de tant d'autres étiquettes, celle de boy-scout attardé.

    Pourtant, cette expérience de jeunesse fut très importante pour moi. Je me sentais bien dans cet univers. Il y régnait un idéal clair, simple, net et joyeux. Nous vivions des rêves d'aventure. J'avais été enthousiasmé par les romans « Signes de Piste », ceux de Jean-Louis Foncine et de Serge Dalens qui, à leur façon, sont de grands écrivains, des créateurs de mondes. Ils ont joué leur rôle dans mon imaginaire.

    Mes camarades et moi, nous sommes donc partis pour le Canada avec presque rien. Le scoutisme nous avait bien préparés.

    Nous avons embarqué en cargo depuis la France. C'était en 1949. Nous avions vingt-trois ans et un rêve, franchir en canot les 4 600 kilomètre de voies d'eau séparant le Canada de la Nouvelle-Orléans, via le Saint-Laurent, les grands lacs et le Mississippi. Tout cela sur les traces des premiers explorateurs français, le Père Marquette, Le Moyne d'Iberville, Cavelier de La Salle.

    Ce rêve a été réalisé avec trois compagnons, chefs scouts comme moi, sept mois durant.

    Ce fut le plus beau de tous mes voyages. En tout cas, celui qui a eu le plus d'allure.

    Partis pour une belle aventure, nous en avons découvert peu à peu la signification profonde. Bien plus qu'une vie séduisante, nous avions trouvé un idéal de risque et de dépassement dans ce premier voyage, quelque part entre les villes de Saint-Louis et de Memphis, sur les chemins d'eau périlleux qui relient Québec au Mississippi.

    Nous vivions dans une communion profonde avec la nature. C'était un voyage complètement désintéressé. Nous ne savions pas ce que nous allions retirer de cette expérience.
    Jean Raspail


    Après avoir bien réfléchi, quelles sont les portes d'avenir pour vos enfants ?
    - les écoles libres pour le savoir et la discipline
    - le scoutisme pour le courage et la débrouillardise
    - les compagnons du devoir pour savoir vraiment aimer un métier
    - le service militaire ... tu seras un homme mon fils ..

    Tout ça ouvert aux femmes et aux hommes pour qui la vie est un chemin royal !!!

     

     

    Le scoutisme une immense porte sur un idéal d'avenir ...


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  • Le marché flottant de Xochimilco (Mexique) ...

    A 1 heure au sud du centre de la capitale, découvrez les jardins flottants de Xochimilco : les descendants des aztèques continuent de travailler ces cultures aquatiques (chinampas) qui produisent fleurs et légumes. Au cours d’une balade en barque typique (trajinera), découvrez le génie agricole des Xochimilcas et l’ambiance mexicaine si vous venez le weekend : les chilangos (surnom des habitants de Mexico) viennent ici célébrer anniversaires et autres fêtes au son des chansons des mariachis, qui offrent leurs services flottants, tout comme les barques de nourriture qui vous assure un moment mexicain inoubliable !

    Ca fait un peu tourisme de masse !!!

     

     

    Nous restons sur les marchés flottants, mais hors Asie ...


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